Phyllies (ou, les cadeaux)

Cadeau de mon homme : deux phyllies géantes (pas encore géantes). Bon, je sais, drôle de cadeau. Mais ça me fait très plaisir, et ça ne fait de mal à personne, alors que trouver à y redire ?

De plus, aucun danger : ces phasmes ne piquent pas, ne mordent pas, ne pincent pas, ne tapent pas, ne lancent pas d’injures ….

Donc, un tout petit, qui n’est pas encore devenu vert, et un plus vieux, mais qui va encore grandir.

C’est une espèce fragile, alors j’espère qu’ils se plairont à la maison. Ceux-là, il n’est pas question de les transporter de classe en classe pour le plaisir des petits et de la grande (et en priorité pour les apprentissages prévus dans les programmes bien sûr !) : je leur laisse calme, température la plus constante possible, humidité …

Puisqu’on parle de cadeau, et de mon Homme, ajoutons qu’il me fait par ailleurs un cadeau, beaucoup, beaucoup, plus gros. Un du genre qui secoue (au sens figuré évidemment).

Voici toujours mes deux phasmes :