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A quatre mains
25 juin 2013

Du silence et quelques notes...

enfants du paradis         

           Certaines choses peuvent apaiser la saturation d'une journée bruyante et agitée de fin d'année scolaire, fatiguante dans sa vacuité, sa désorganisation et son impression de lâcher prise généralisé.

      La grâce suspendue d'un ordre raffiné, par exemple. Schubert, donc. Le Quintette pour deux violoncelles en ut majeur notamment, et le second mouvement en particulier. 

    Je ne développerai pas, et laisserai la place aux notes. Il a juste été un peu difficile de trouver une interprétation qui me satisfaisait totalement. La plus belle me semble être celle du quatuor Emerson, qui l'a enregistré avec Rostropovitch. Vous vous ferez une idée avec ce premier mouvement, mais le second n'est pas disponible :

 

 

 

 

Mon second choix se porte donc sur le quatuor Pražák, que j'aime beaucoup également. J'espère que vous l'apprécierez aussi...

 

 

 

« La musique commence là où s'arrête le pouvoir des mots. »
Richard Wagner

 

 

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Commentaires
M
Je crois que j'aime autant les deux versions. La première pensée qui me vient en écoutant : "Là, tout n'est qu'ordre et beauté." Merci pour ce moment de partage !
A quatre mains
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