24 mars 2009
reptor fouisseur
Tu es mon petit reptor fouisseur.
Quand tu tètes alors que nous sommes allongées face à face, tu gagnes peu à peu du terrain sur moi. Je ne vois pas les mouvements qui te font avancer, mais ta progression est évidente.
Si tu es verticalement contre mon torse, endormie ou non, et que je m’allonge, tu rampes « vers le haut » en poussant sur tes jambes. Tu n’es plus un nouveau-né, mais le réflexe de fouissement est toujours là.
Publicité
Publicité
Commentaires